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COMMUNAUTÉLe centre de notre intérêt et affectionpar Phil Bartletraduit par Silke ReichrathPage principale du module (Hub)Documents de ce module intitulé Communauté
La communauté est à la fois un objet à renforcer et un sujet à étudierTandis que la communauté (et la façon de la renforcer) est la cible principale de la sociologie pratique ou appliquée de ce site, elle est aussi une institution sociale à étudier comme partie de l'étude sociologique de la culture et de l'organisation sociale. Ce module examine quelques questions sociologiques et quelques sujets liés à la communauté. Contrairement à d'autres modules, qui incluent différents documents pour des audiences différentes, ce module est constitué de notes pour l'étudiant débutant de la société. Elle traite de diverses définitions et descriptions de la communauté et des caractéristiques de la communauté. Ferdinand Tönnies utilisait les deux mots Gemeinschaft (communauté) et Gesellschaft (société) pour distinguer les éléments de l'organisation sociale non-officiels, chaleureux et spontanés des éléments de l'organisation sociale officiels, froids, codifiés et ordonnés. On suit son exemple et utilise les deux mots allemands en français pour identifier des éléments des deux concepts comme des niveaux ou proportions de l'un ou de l'autre, et non pas simplement comme des catégories absolues. Une découverte importante est que la différence entre les communautés et les familles est très petite. Chez beaucoup de groupes non occidentaux (comme chez les Premières nations du Canada), le groupe formé par la parenté est la communauté. Quand on reconnaît divers types de familles et diverses façons de la constituer, on s'apercoit que beaucoup de familles ressemblent à des communautés. Une autre découverte importante est que notre constitution psychologique, qui n'a pas beaucoup changé depuis les 50.000 années passées, nous rend plus à l'aise dans des groupes restreints et des face-à-face dans lesquels nous connaissons chaque personne, plutôt que dans l'anonymat des établissement humains urbains. Cela paraît être la motivation de notre propension à créer de nouvelles formes de communauté, qui nous fait constituer des associations, y compris celles sur l'Internet, et apprendre les prénoms des employés du secteur tertiaire (p. ex. des conducteurs d'autobus et des vendeurs des épiceries) pour créer l'illusion qu'on continue de vivre dans le contexte d'une société, en dépit du rythme accéléré de l'urbanisation et de la croissance de la communauté. ––»«––Atelier ––»«––Si vous utilisez ce texte, veuillez en informer l'auteur et mentionner le site : www.cec.vcn.bc.caCe site est hébergé avec l'appui du VCN (Vancouver Community Network)© Droits d'auteur 1967, 1987, 2007 Phil Bartle
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